Délirants exploits
Nouvelle illustration de l’inépuisable richesse du théâtre argentin, Conçu tel un combat de coq dans le vestiaire d’un gymnase,
Alfonso Baron et Luciano Rosso dirigés par Hermes Gaido ont conçu un spectacle d’une exceptionnelle inventivité,
Extravagant mélange d’exploits physiques, de talent burlesque, de mimiques insensées.
Qu’ils se toisent, se mesurent, se défient,
Se « prennent le bec », se dressent sur leurs ergots, déploient leurs ailes,
Qu’ils se séduisent, « s’épatent », se combattent,
Qu’ils amorcent de torrides chorégraphies, se déhanchent langoureusement, caricaturent les défilés de mode masculine, ou, rétrécissent sous le poids d’un chignon imaginaire savamment « monté »,
Qu’ils improvisent en fonction de rapides passages d’une station de radio musicale à la suivante,
Ou bien qu’un acrobatique numéro de cigarettes en bouche illustre différentes émissions diffusées sur les ondes,
Que le changement de tenues donne lieu à un épisode en slip particulièrement hilarant,
Que d’un affrontement bouche à bouche surgissent d’étranges sonorités, dialogue improbable entre les protagonistes,
Qu’enfin le déploiement d’une antenne de radio serve à une approche amoureuse non dissimulée :
Créé dans un hangar de Buenos-Aires en 2008,
Succès mondial présenté au Rond-Point et repris au Théâtre Antoine,
Cet alliage, concentré de comique et de prouesses physiques,
Au final délirant avec « Pollito Pio » chanson populaire interprétée par Luciano Rosso assis seul sur son banc de vestiaire,
Atteint au nadir de la perfection caricaturale,
Porte à son comble l’hilarité générale,
Au plus grand bonheur du public,
Partagé sans réserve par Lulu.
Il vous reste quelques semaines,
Ne vous privez d’un rare moment théâtral,
Un des évènements marquant de la saison.
Alfonso Baron et Luciano Rosso dirigés par Hermes Gaido ont conçu un spectacle d’une exceptionnelle inventivité,
Extravagant mélange d’exploits physiques, de talent burlesque, de mimiques insensées.
Qu’ils se toisent, se mesurent, se défient,
Se « prennent le bec », se dressent sur leurs ergots, déploient leurs ailes,
Qu’ils se séduisent, « s’épatent », se combattent,
Qu’ils amorcent de torrides chorégraphies, se déhanchent langoureusement, caricaturent les défilés de mode masculine, ou, rétrécissent sous le poids d’un chignon imaginaire savamment « monté »,
Qu’ils improvisent en fonction de rapides passages d’une station de radio musicale à la suivante,
Ou bien qu’un acrobatique numéro de cigarettes en bouche illustre différentes émissions diffusées sur les ondes,
Que le changement de tenues donne lieu à un épisode en slip particulièrement hilarant,
Que d’un affrontement bouche à bouche surgissent d’étranges sonorités, dialogue improbable entre les protagonistes,
Qu’enfin le déploiement d’une antenne de radio serve à une approche amoureuse non dissimulée :
Créé dans un hangar de Buenos-Aires en 2008,
Succès mondial présenté au Rond-Point et repris au Théâtre Antoine,
Cet alliage, concentré de comique et de prouesses physiques,
Au final délirant avec « Pollito Pio » chanson populaire interprétée par Luciano Rosso assis seul sur son banc de vestiaire,
Atteint au nadir de la perfection caricaturale,
Porte à son comble l’hilarité générale,
Au plus grand bonheur du public,
Partagé sans réserve par Lulu.
Il vous reste quelques semaines,
Ne vous privez d’un rare moment théâtral,
Un des évènements marquant de la saison.
