Flamboyantes ténèbres.
Sombres Silences.
Sombres Silences.
Silence et obscurité : on pénètre dans la salle comme dans un lieu sacré.
Le recueillement s’impose.
Un rituel va se déployer,
Envoutant.
Fantasmagorique, la silhouette d’Yann Boudaud apparait au loin sous cet arc noir, baigné de lumières incertaines,
Se mouvant comme au ralenti, mouvements décomposés, corps souffrant.
« Exhalé », le texte du grand poète expressionniste mort à 27 ans.
Enfer de « la race maudite », cauchemars de solitude, accablements de culpabilité, apparitions de la sœur incestueuse, frémissements de mort et délices de la présence de Dieu hantent l’œuvre,
Incandescente, toujours au bord de la folie,
A la saisissante puissance d’évocation.
Claude Régy a ses détracteurs.
La catharsis n’opère pas sur tous.
La brièveté du spectacle,
Le génie du poète
Ont convaincu Lulu.
Le recueillement s’impose.
Un rituel va se déployer,
Envoutant.
Fantasmagorique, la silhouette d’Yann Boudaud apparait au loin sous cet arc noir, baigné de lumières incertaines,
Se mouvant comme au ralenti, mouvements décomposés, corps souffrant.
« Exhalé », le texte du grand poète expressionniste mort à 27 ans.
Enfer de « la race maudite », cauchemars de solitude, accablements de culpabilité, apparitions de la sœur incestueuse, frémissements de mort et délices de la présence de Dieu hantent l’œuvre,
Incandescente, toujours au bord de la folie,
A la saisissante puissance d’évocation.
Claude Régy a ses détracteurs.
La catharsis n’opère pas sur tous.
La brièveté du spectacle,
Le génie du poète
Ont convaincu Lulu.
