Confirmation d'un Auteur
Révélation d'une Troupe.
Révélation d'une Troupe.
Merveilleusement joué par Marina Foïss et Louis-Do de Lencquesaing, au Rond-Point en 2011, Simon Stephen nous avait déjà donné la mesure de son talent.
Punck Rock vient de nous en apporter l'indéniable confirmation.
Toujours en Angleterre, nous pénétrons cette fois chez des collégiens à la veille de leurs examens d'entrée en "Fac".
Lever de rideau: Lily, la "nouvelle", installée dans une bibliothèque reculée du lycée, est accueillie avec complaisance par William, ancien élève et fin connaisseur des lieux.
Ils sont bientôt rejoints par trois garçons et deux filles, formant un groupe de copains apparemment sans problèmes.
Dans ce huis clos estudiantin les situations et conversations banales du début basculeront progressivement dans des scènes toujours plus troublantes et dérangeantes.
Le stress, les fêlures de chacun peu à peu se dévoilent.
Inexorablement la tension monte.
Tout basculera dans un dramatique paroxisme final.
Excellent travail d'écriture, terrible description d'une jeunesse "éduquée" et...perdue.
Dominique Hollier et Adélaïde Pralon signent l'adaptation qui restitue toute l'acuité des dialogues, le naturel du langage des adolescents d'aujourd'hui.
Mais que serait cette pièce sans ses interprètes ? Aussi jeunes que l'exigent les rôles, aussi chevronnés, engagés, justes, et authentiques que les meilleurs de leurs aînés, ils sont tous, sans exception formidables.
Je tiens à citer chacun, leur performance le justifie.
Bravo à Aurélie Augier, Alice de la Baume, Issame Chayle, Clovis Guerrin, Roman Kané, Mathilde Ortschreidt, Laurent Prache, Alice Sarfati.
Et félicitations admiratives à Tanya Lopert, le metteur en scène, à qui l'on doit ce courageux et généreux travail avec les comédiens qu'elle a su choisir, diriger, et nous faire découvrir.
Ainsi servi par la jeunesse de l'auteur, anglais je précise, et de ses interprètes,voilà la relève brillamment assurée.
Amateurs l'occasion est belle, il faut la saisir.
Punck Rock vient de nous en apporter l'indéniable confirmation.
Toujours en Angleterre, nous pénétrons cette fois chez des collégiens à la veille de leurs examens d'entrée en "Fac".
Lever de rideau: Lily, la "nouvelle", installée dans une bibliothèque reculée du lycée, est accueillie avec complaisance par William, ancien élève et fin connaisseur des lieux.
Ils sont bientôt rejoints par trois garçons et deux filles, formant un groupe de copains apparemment sans problèmes.
Dans ce huis clos estudiantin les situations et conversations banales du début basculeront progressivement dans des scènes toujours plus troublantes et dérangeantes.
Le stress, les fêlures de chacun peu à peu se dévoilent.
Inexorablement la tension monte.
Tout basculera dans un dramatique paroxisme final.
Excellent travail d'écriture, terrible description d'une jeunesse "éduquée" et...perdue.
Dominique Hollier et Adélaïde Pralon signent l'adaptation qui restitue toute l'acuité des dialogues, le naturel du langage des adolescents d'aujourd'hui.
Mais que serait cette pièce sans ses interprètes ? Aussi jeunes que l'exigent les rôles, aussi chevronnés, engagés, justes, et authentiques que les meilleurs de leurs aînés, ils sont tous, sans exception formidables.
Je tiens à citer chacun, leur performance le justifie.
Bravo à Aurélie Augier, Alice de la Baume, Issame Chayle, Clovis Guerrin, Roman Kané, Mathilde Ortschreidt, Laurent Prache, Alice Sarfati.
Et félicitations admiratives à Tanya Lopert, le metteur en scène, à qui l'on doit ce courageux et généreux travail avec les comédiens qu'elle a su choisir, diriger, et nous faire découvrir.
Ainsi servi par la jeunesse de l'auteur, anglais je précise, et de ses interprètes,voilà la relève brillamment assurée.
Amateurs l'occasion est belle, il faut la saisir.
