A vouloir étaler tant d'esprit, ce pauvre Wilde se résumerait à un festival "Marie Chantal".
G. Désveaux, que l'on a connu si inspiré pour "Tokyo Bar", signe ici une mise en scène provinciale et appuyée, dans des décors qui ne valent guère mieux.
Si Claude Aufaure nous "sert" un bon travesti et Arnaud Denis parvient à "Burnburiser" sans trop d'effort, le reste de la distribution brille par sa médiocrité.
Quelle lourdeur!
Pauvre cher dandy splendide ainsi maltraité!
Coupe de champagne frelaté.
En somme quelle tristesse.