Et voilà ma vigilance prise en défaut.
Un bon journaliste ne fait pas forcément un grand auteur.
Le sujet est à nouveau la maladie d'Alzheimmer.
Cette fois c'est la plus jeune des soeur, cancéreuse, qui est confrontée à la déchéance terrifiante de son aînée irrémédiablement atteinte par ce mal.
Traité au premier degré, avec un réalisme cru et force détails aussi triviaux que superflus, on se prend à considérer la pièce de Florian Zeller comme un impérissable chef d'oeuvre.
Curieux choix de Monsieur Lavelli.
Son goût et son discernement souffriraient-ils aussi d'un problème dû à l'âge?