Fulgurant et inspiré.
Vertige de la vitesse, violence des étreintes, désarticulation des corps, urgence du désir alternent avec la douce lenteur d'êtres en suspension dans l'espace, comme en apesanteur, s'effleurant à peine; un solo de femme d'une sensualité torride, des ensembles d'un dynamisme incroyable.
La partition centenaire du "Sacre" n'a jamais paru aussi étonnement moderne, habitée par le rythme de nos vies trépidantes et follement rockn' roll comme le revendique Gallota lui-même.
Tous les grands l'ont illustrée (Béjart, Pina ....) pour moi jamais chorégraphe n'a "collé" à ce point à cette musique tellurique et éruptive.
Gallotta écrit une chorégraphie véritablement inspirée. Ses danseurs sont prodigieux.
Enivrante soirée. de loin le meilleur ballet de cette saison.
La partition centenaire du "Sacre" n'a jamais paru aussi étonnement moderne, habitée par le rythme de nos vies trépidantes et follement rockn' roll comme le revendique Gallota lui-même.
Tous les grands l'ont illustrée (Béjart, Pina ....) pour moi jamais chorégraphe n'a "collé" à ce point à cette musique tellurique et éruptive.
Gallotta écrit une chorégraphie véritablement inspirée. Ses danseurs sont prodigieux.
Enivrante soirée. de loin le meilleur ballet de cette saison.
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