Jolie idée.
Une initiative que l’on doit à deux jeunes femmes,Myrtille Mousson et Charlotte Wannebroucq animées de même passion pour l’univers du bijou.
Installés sur plusieurs niveaux de l’hôtel de l’Industrie, cette exposition réunit une vingtaine de participants.
Chacun a pris soin de personnaliser son espace, les découvertes sont nombreuses.
L’inventivité souvent surprenante.
Suivez Lulu.
Ancien élève des Beaux-Arts, Binliang Alexandre Peng a choisi « La Main baladeuse», (rien de vulgaire ici) pour cette collection. Sa présentation frappe par son originalité. L’artiste a fabriqué lui-même, en papier mâché,une forêt des troncs d’arbre dont des main forment rameaux. A leur sommet, posée en équilibre sur le pouce, une délicate bulle transparente sert de vitrine. Elles renferment majoritairement des bagues: de discrètes mains enserrent leurs gemmes.
Au même niveau, chez Diamantiques, au milieu de pièces vintages ou de banales croix en or transformées en créoles plus modernes, un superbe pendentif en pâte de verre de Lalique retient le regard.
Dans l’escalier qui conduit à l’étage supérieur, Deux vitrines. Dans l’une Marina B.
Dans l’autre, juste installée avant mon départ, les folles créations de Lydia Courteille. Un cabinet de curiosités, à l’image de sa boutique de la rue Saint-Honoré. Destinés à une femme audacieuse, un imposant collier inspiré de Topkapi, un inquiétant bracelet serpent en saphir bleu nuit, de généreuses torsades en brillants avec une grosse perle- goutte en pendentifs d’oreilles.
Dans la galerie,à l’étage, Marc Alexadre décline dans son style un bestiaire magique: dragons, phénix. Dans un registre plus aquatique, ses étoiles de mer ne manquent pas de charme.
Une manchette en or et brillant, à la monture arachnéenne enchante de légèreté à La Maison Veyrets.
Chez Coralie Van Caloen triomphe une belle opulence baroque dans ses pendentifs d’oreille colorés La délicatesse parfaite caractérise une manchette d’or ajourée d’exquises feuilles de lierre en brillants. Un véritable coup de coeur pour Lulu.
Remarquables ces presse-papier en coquillage signés Christine Escher. Un ormeau géant serti de cristaux anciens de Swarovski aux reflets passés, un coquillages porcelaine poli, serti de même ne sont pas sans rappeler les sublimes créations de Schlumberger. Chic et singulier.
Dans la veine avant-gardiste, Patrice Fabre n’hésite pas à poser ses treillis d’or ou de brillants sur du béton, à recourir à l’acier pour un long collier d’inspiration végétale: un rameau ponctué de pierre, à son extrémité un impressionnant béryl vert de 70 carats. Moins audacieuse, mais aussi très réussie, sa manchette d’or entièrement incrustée de topazes brûlées.
Le végétal décidément dans l’air du temps se retrouvent sur ces branches de bois brut sculptées par Agop Castany, autre créateur joaillier. Elles servent de présentoir à ses créations, pièces de dimensions plus discrètes qui n’en révèlent pas moins un incontestable savoir-faire. Il excelle dans l’étonnante souplesse de ses montures; dans la singulière mise en valeur de la forme des brillants. Particulièrement remarquées, une alliance où alternent baguettes en diagonale et brillants taille émeraude, un bracelet de diamants ronds sur or.
Belle diversité à la Galerie Yidan Dema, spécialisée en bijoux anciens. Suivant vos attirances vous y trouverez une trembleuse à transformations Second Empire: la fleur peut orner le corsage, être piquée dans les cheveux. Intact, l’écrin renferme ses différentes montures.
Plus récentes sinon, une magnifique broche de corsage tout en brillant montés sur platine aux lignes caractéristiques des années trente, un bracelet de petites perles fines et onyx, une petite montre bracelet pour le soir tout en brillants ont particulièrement retenu l’attention de Lulu par leur qualité.
Enfin, reconnaissable au premier regard, digne héritier de son père Jean Vendome, Thierry Vendome perpétue le style inimitable de la maison en y apportant sa touche personnelle.
Véritable «sculpteur» joaillier, l’audace de ses montures mettent en valeur des pierres aux formes et aux volumes les plus inattendus.
Rien de conventionnel dans ses bijoux. La modernité de ses créations ne finissent pas de nous étonner et de nous séduire. La recherche et l’inventivité dont elles témoignent en font des parures à nulles autres pareilles. Thierry Vendome maîtrise encore avec une maestria remarquable tous les volumes: entre reliefs délicats et subtils ses bijoux en or tout en finesse et imposants colliers se déployant leurs «strates» d’or et pierre diverses.
Thierry Vendome, un véritable créateur.
Timeless Jewels une promenade entre passé et présent,
L’occasion de belles rencontres,
Les tentations du beau.
Installés sur plusieurs niveaux de l’hôtel de l’Industrie, cette exposition réunit une vingtaine de participants.
Chacun a pris soin de personnaliser son espace, les découvertes sont nombreuses.
L’inventivité souvent surprenante.
Suivez Lulu.
Ancien élève des Beaux-Arts, Binliang Alexandre Peng a choisi « La Main baladeuse», (rien de vulgaire ici) pour cette collection. Sa présentation frappe par son originalité. L’artiste a fabriqué lui-même, en papier mâché,une forêt des troncs d’arbre dont des main forment rameaux. A leur sommet, posée en équilibre sur le pouce, une délicate bulle transparente sert de vitrine. Elles renferment majoritairement des bagues: de discrètes mains enserrent leurs gemmes.
Au même niveau, chez Diamantiques, au milieu de pièces vintages ou de banales croix en or transformées en créoles plus modernes, un superbe pendentif en pâte de verre de Lalique retient le regard.
Dans l’escalier qui conduit à l’étage supérieur, Deux vitrines. Dans l’une Marina B.
Dans l’autre, juste installée avant mon départ, les folles créations de Lydia Courteille. Un cabinet de curiosités, à l’image de sa boutique de la rue Saint-Honoré. Destinés à une femme audacieuse, un imposant collier inspiré de Topkapi, un inquiétant bracelet serpent en saphir bleu nuit, de généreuses torsades en brillants avec une grosse perle- goutte en pendentifs d’oreilles.
Dans la galerie,à l’étage, Marc Alexadre décline dans son style un bestiaire magique: dragons, phénix. Dans un registre plus aquatique, ses étoiles de mer ne manquent pas de charme.
Une manchette en or et brillant, à la monture arachnéenne enchante de légèreté à La Maison Veyrets.
Chez Coralie Van Caloen triomphe une belle opulence baroque dans ses pendentifs d’oreille colorés La délicatesse parfaite caractérise une manchette d’or ajourée d’exquises feuilles de lierre en brillants. Un véritable coup de coeur pour Lulu.
Remarquables ces presse-papier en coquillage signés Christine Escher. Un ormeau géant serti de cristaux anciens de Swarovski aux reflets passés, un coquillages porcelaine poli, serti de même ne sont pas sans rappeler les sublimes créations de Schlumberger. Chic et singulier.
Dans la veine avant-gardiste, Patrice Fabre n’hésite pas à poser ses treillis d’or ou de brillants sur du béton, à recourir à l’acier pour un long collier d’inspiration végétale: un rameau ponctué de pierre, à son extrémité un impressionnant béryl vert de 70 carats. Moins audacieuse, mais aussi très réussie, sa manchette d’or entièrement incrustée de topazes brûlées.
Le végétal décidément dans l’air du temps se retrouvent sur ces branches de bois brut sculptées par Agop Castany, autre créateur joaillier. Elles servent de présentoir à ses créations, pièces de dimensions plus discrètes qui n’en révèlent pas moins un incontestable savoir-faire. Il excelle dans l’étonnante souplesse de ses montures; dans la singulière mise en valeur de la forme des brillants. Particulièrement remarquées, une alliance où alternent baguettes en diagonale et brillants taille émeraude, un bracelet de diamants ronds sur or.
Belle diversité à la Galerie Yidan Dema, spécialisée en bijoux anciens. Suivant vos attirances vous y trouverez une trembleuse à transformations Second Empire: la fleur peut orner le corsage, être piquée dans les cheveux. Intact, l’écrin renferme ses différentes montures.
Plus récentes sinon, une magnifique broche de corsage tout en brillant montés sur platine aux lignes caractéristiques des années trente, un bracelet de petites perles fines et onyx, une petite montre bracelet pour le soir tout en brillants ont particulièrement retenu l’attention de Lulu par leur qualité.
Enfin, reconnaissable au premier regard, digne héritier de son père Jean Vendome, Thierry Vendome perpétue le style inimitable de la maison en y apportant sa touche personnelle.
Véritable «sculpteur» joaillier, l’audace de ses montures mettent en valeur des pierres aux formes et aux volumes les plus inattendus.
Rien de conventionnel dans ses bijoux. La modernité de ses créations ne finissent pas de nous étonner et de nous séduire. La recherche et l’inventivité dont elles témoignent en font des parures à nulles autres pareilles. Thierry Vendome maîtrise encore avec une maestria remarquable tous les volumes: entre reliefs délicats et subtils ses bijoux en or tout en finesse et imposants colliers se déployant leurs «strates» d’or et pierre diverses.
Thierry Vendome, un véritable créateur.
Timeless Jewels une promenade entre passé et présent,
L’occasion de belles rencontres,
Les tentations du beau.
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